• Il avait donc fallu organiser rapidement le retour et pas question de repartir avec Ibéria.

    Ce fut donc la TAP : Séville-Lisbonne et Lisbonne-Genève avec trois heures d'attente à Lisbonne.

    Taxi de l'hôtel jusqu'à l'aéroport de Séville à 7 heures du matin.

    Mise en soute de mes bâtons interdits en cabine.

    L'avion décolle mais les nuages présent empêchent toute vision.

     

    Arrivée à Lisbonne

    Puis c'est l'attente, en espérant ne pas revivre la même mésaventure qu'à l'aller.

    Déambuler, sac toujours dans le dos (ce qui est moins drôle), dans la grande salle en regardant les magasins

    et j'en profite pour m'acheter un sac à main.

    Prendre un repas des plus infâmes avec une bouteille d'un liquide sucré que j'ai pris pour de l'eau frown.

    Enfin, l'avion est là et c'est en classe affaire que je m'installe.

    Pas eu le choix et j'ai su qu'une personne en surbooking était resté au sol, j'y ai sans doute échappé

    (la classe affaire était loin d'être pleine!!!).

    Je ne suis pas habituée au luxe et fut surprise qu'à 15h30, on m'offre un repas avec serviette en tissu,

    couverts en inox, vin offert à la demande...

    et sourires des hôtesses aux petits soins.

    Si j'avais su ça, je n'aurais pas mangé avant... J'ai fait honneur au repas!

     

    Pont Vasco de Gama

     

     

     

     

     

    Le 25 août 2022 : Le retour

     

                                      

     

     

     

     

     

    A l'arrivée à l'aéroport de Genève, je suis allée vers le tapis roulant pour récupérer mes bâtons (et mon couteau bien scotché).

    J'ai attendu, attendu, attendu... Point, pas de bâtons. Un autre personne attendait sa valise, pas de valise.

    Nous sommes allés vers les colis spéciaux, pas de bâtons, pas de valise.

    On nous a indiqué le bureau des réclamations qui se trouvait à l'autre bout de l'aéroport.

    Toujours mon sac sur le dos (emporté dans l'avion), je m'y suis rendue pour constater qu'il y avait une queue monumentale :

    quasiment que des bagages perdus (tous avions mélangés). Certains avaient même toutes leurs valises en soute et faisaient triste mine.

    Au bout d'une demi-heure d'attente, sans que la queue ait bougé de plus d'un mètre,

    je suis repartie en disant Adieu à ces chers bâtons qui depuis tant d'années m'avaient suivie dans mes pérégrinations.

    Finalement, sur les conseils de ma fille, qui avait vécu la même situation avec les super bâtons haut de gamme de son fils sportif,

    j'ai fait une réclamation par internet de colis perdu avec le numéro que j'avais précieusement gardé

    ainsi que le descriptif demandé.

    ...

    Ils sont arrivés quelques jours plus tard chez moi par un transporteur...

    Pour conclure, je dirais que prendre l'avion n'est pas un gage de sécurité et c'est beaucoup de tracasseries.

    Le train est sans doute préférable quand c'est possible.

    A demain la fin... pour une surprise !


    10 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique