• Avant de rejoindre nos pénates, je suis retournée dans la colline.

    J'étais seule , j'ai donc pris mon temps pour photographier quelques fleurs,

    ce qui ne fut pas facile.

    La vipérine de Crète ne voulait rien entendre et restait obstinément floue.

    Au bout de deux Pater et trois Ave, elle s'est enfin décidée.

     

    Tout d'abord on a traversé un champ d'amandiers

    Puis on s'est élevé doucement pour admirer la mer au loin.

    L'air s'était asséché et la vue était nettement plus nette.

    J'ai croisé en revenant, un monsieur qui remettait en état d'anciens fours à chaux.

    Il les débarrassait de la végétation envahissante.

    Il paraît qu'il y en a plusieurs, la forêt fournissait le bois nécessaire

    et on construisait les fours au fur et à mesure de la déforestation.

     

     

     


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