•  Je suis partie ce matin-là de Cuvéry.

     J’avais renoncé à aller à ski, toussant encore pas mal et n’ayant pas encore retrouvé toute mon énergie après cet épisode grippal

     et en plus il fallait sortir Mira qui commençait à tourner en rond.

     

     Il n’y avait pas trop de monde et le temps était idyllique : température positive, ciel d’un bleu soutenu, sans le moindre nuage, neige bien glissante pour les skieurs

     

    et suffisamment portante pour éviter de chausser les raquettes.

     Mira est toujours aussi trouillarde quand il y a des voitures et de l’animation mais sur le chemin,

     elle est capable de faire la fête aux gens que l’on croise comme de superbement les ignorer, ce que je préfère et de loin.

     

     

    Ces prairies sont, en été, occupées par des troupeaux de vaches, charolaises le plus souvent mises en estive et venant parfois de loin. 

     

    Au loin, la Platière  (cliquer) dont nous allons nous rapprocher.

    Je l’ai connue libre d’accès et presque abandonnée. Maintenant elle est entièrement restaurée et entourée d’un grillage derrière lequel aboie un chien qui a bien repéré Mira.

     

     

     


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